la santé : un bien précieux

Concepts ou Ecologie de la Santé

 

 


CONCEPTS  DE  SANTE  OU  L' ECOLOGIE  DE  LA  SANTE

La Charte de Ljubljana

 

 

 

 

Source  :  http://www.sante-solidarite.com/concept.htm

 

 

 

 

 

Préambule : 

 

" Si quelqu'un désire la santé il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement il est possible de l'aider ". HIPPOCRATE

 

 

Par cette simple phrase on peut mesurer la distance qui existe entre la vision courante de la santé, pas de maladie, ne pas attraper de microbes ( l'ennemi), avoir un bon médecin et bénéficier des meilleurs médicaments toujours plus performants et cette vision de la santé hippocratique qui n'a pas pris une ride, qui,rappelle l'importance des causes, replace l'être humain dans toutes ses dimensions et souligne l'interactivité de l'être humain et de sa santé.

 

 

Qu'est-ce que la santé ? Pas seulement l'absence de maladie mais un état de bien être global Physique, social, psychique, (émotionnel, sentimental, mental).

 

 

L'écologie de la santé serait tout ce qui contribue à l'état naturel de l'être humain dans toutes ses dimensions et pas seulement le corps physique. A cet égard la santé globale c'est l'être humain en pleine harmonie dans toutes ses dimensions : Corps, intellect, émotionnel et esprit.

 

 

 

Les concepts de la santé peuvent être définis comme un ensemble d'équilibres (homéostasie au sens large) que l'on pourrait appeler écologie de la santé, portant sur : 

 

 

 

Alimentation saine et vivante

Fraîcheur, pureté, aliments biologiques

Pas de triturations industrielles, irradiations, produits chimiques

Environnement sain

Tant dans la vie privée qu'au travail

Renvoie à l'écologie générale : Air, Eau, bruit, habitat, environnement travail…

Un équilibre psycho-émotionnel sain

Relation familiales et affectives

Vie sociale et épanouissement personnel : art, culture, sport et connaissance de soi

 

 

 

Cette différence de vue d'une santé globale et responsable, très différente de la façon de voir actuelle, à savoir principalement limitée au corps physique, lui-même décomposé en organes, entraîne de profonds changements de paradigmes :

 

 

 

 

Actuellement  :  " L'ennemi c'est la maladie et sa cause le microbe "

 

 

La maladie c'est le mal à dire, c'est le langage du corps, un ensemble de signaux pour nous aider à comprendre la cause du mal et y remédier. Actuellement on s'attaque au symptôme qu'il faut faire disparaître, mais masquer le symptôme c'est masquer le témoin rouge au tableau de bord de votre voiture.

 

 

Ca ne marche pas, c'est la panne assurée un peu plus loin. A force de combattre les microbes ceux-ci sont devenus résistants : exemple les antibiotiques. Aujourd'hui les infections nosocomiales tuent plus que les accidents de la route ce qui démontre bien les limites de cette méthode Pourquoi une thérapie qui ne s'en prend principalement qu'aux effets et non aux causes écrase-t-elle toutes les autres ?

 

 

 

 

Actuellement  :  " L'ennemi c'est le microbe " C'est l'approche pasteurienne.


On voit où cela conduit : Affaiblissement du SI (système immunitaire) par excès d'antibiotique devenus inefficaces tant les microbes sont rapides à s'adapter et à muter.

Nous ne pourrions pas vivre sans l'aide d'une multitude de bactéries, les commensaux indispensables dans les processus de digestion par exemple. Un excès d'hygiènisme se révèle contre-producteur de santé.

 

 

Déjà le professeur Bernard crois affirmait : " Le microbe n'est rien le terrain est tout " introduisant ici un critère d'évaluation de la santé, c'est à dire le niveau du SI.

Comment continuer à cautionner la pratique abusive du médicament, le médicament ne guérit pas ; seul le corps à la faculté de se guérir.

 

 

 

Ceci ne remet pas en cause, au contraire les progrès les progrès majeurs réalisés dans le domaine du diagnostic, du curatif et de l'urgence : 

 

 

Méthodes chirurgicales très pointues, analyses médicales pointues, techniques de diagnostic performantes dont les services rendus sont indéniables in fine. Il est uniquement question ici du rôle du médicament adressant l'effet , le symptôme.

 

 

A la pratique de la médecine symptômatique, par ordonnance, l'écologie de la santé substitue une approche d'ouverture reposant sur 3 points : Une éducation à la santé : chacun doit prendre sa santé en main, son bien le plus précieux, basée sur une information claire et loyale.

 

 

  

 

 

La prévention

 

 

Pas comme cela est compris aujourd'hui, à savoir dépistages, vaccinations de masse, etc…

Mais par une éducation à l'hygiène de vie à tout les niveaux, la compréhension des équilibres fondamentaux de l'être humain.

Les soins : Changer les rapports du citoyen avec la maladie et la médecine, arrêter d'abuser les citoyens en entretenant les croyances erronées sur le médicament. Ceci implique des remises en cause profondes des institutions :

 

Un Ministère de la santé (globale) et non un secrétariat d'état au soins incompétent en terme de santé pour investiguer sérieusement sur les causes des maladies dégénératives et auto-immunes.

 

 

Libérer le domaine de la santé publique de l'emprise de l'industrie pharmaceutique et de ses appointés ,faire une ouverture progressive avec évaluation vers les autres médecines injustement écrasées par le pouvoir médical...En fait un vaste programme où le citoyen doit regagner sa souveraineté perdue car laissée en d'autres mains.

 

 

 

 

 

L'équilibre psycho-émotionnel

 

Outre les points portant sur l'alimentation, l'eau et l'environnement une bonne hygiène de vie, qui commencent à être compris du public et des institutions une mention particulière sera développée ci dessous sur l'équilibre psycho émotionnel qui comprend dans l'ordre, émotions et sentiments, le mental ou intellect, et enfin esprit ou dimension spirituelle.

 

 

 

 

 

 

L'équilibre des quatre corps, clé de l'autonomie et de la santé individuelle

 

L'être humain est constitué de quatre corps : le corps physique, le corps émotionnel, le corps mental, et enfin le corps spirituel (appelé aussi âme ou moi supérieur ou être de lumière). Ainsi le définissent tous les enseignements de sagesse, à toutes les époques de l'histoire et sur les cinq continents.

 

 

Au temps de la Grèce antique, les bâtiments consacrés à la guérison étaient ainsi conçus :

 

 

- au premier niveau, des médecins soignaient le corps physique,

- au deuxième niveau, les patients apprenaient à se libérer de leurs émotions négatives,

- au troisième niveau, le corps mental était nettoyé de tous les résidus laissés par les                 pensées nocives,

- au quatrième niveau, le corps spirituel était purifié afin que l'énergie de l'âme puisse de nouveau rayonner dans tout l'individu.

 

 

 

Un être neuf émergeait de ces temples dans lesquels on prenait en compte la totalité de l'être humainC'était déjà de la médecine holistique.  

 

 

 

 

 

 

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14/06/2011
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